Accompagnée d’un certificat d’authenticité SAGAN PARIS
Bijou vintage, travail français des années 1960-1970

LA VIRGINIA est une bague envoûtante, à l’aura romantique et à la présence captivante.
Une Marguerite vintage intemporelle, aux courbes généreuses et au raffinement délicieux, dont l’allure étincelante séduit par son équilibre parfait et sa silhouette tout en rondeur.

Son chaton ovale de 16,5 x 14,4 mm dessine une fleur délicate et élégante, pensée comme une composition joaillière à part entière, où chaque élément trouve sa juste place.

En son centre, une émeraude ovale facettée de 8 x 5,8 mm, d’un vert profond et ponctuée d’inclusions naturelles, révèle ses nuances moirées.
Une pierre subtilement vivante, dont le cœur précieux semble habité d’une lumière intérieure, conférant à la bague une aura intense et captivante.

Autour, huit beaux diamants taille brillant d’environ 3,9 mm chacun dessinent un entourage étincelant, régulier et parfaitement structuré, pour un poids total estimé à environ 1,76 carat.
Leur éclat pur et lumineux compose une corolle étincelante, soulignant avec finesse la profondeur de l’émeraude et renforçant la présence visuelle de la bague.

Un jeu de volumes sublime, pour une Marguerite à l'intensité rare !

Le chaton repose sur un panier ajouré finement travaillé, à décor de volutes végétales, nervures arquées et arabesques délicates, véritable signature du savoir-faire joaillier de l’époque.
Cet ajourage soigné laisse circuler la lumière sous chaque gemme, amplifiant leur éclat et révélant toute la dimension aérienne et raffinée de la monture.

L’anneau en or blanc 18 carats, poinçonné tête d’aigle et poinçon de maître, présente une ligne double brin équilibrée et confortable, fidèle à l’exigence de qualité propre aux bijoux de cette période.

LA VIRGINIA est une bague d’exception : élégante par sa simple présence, fascinante dans ses détails, et profondément intemporelle.
Un bijou vintage au raffinement délicat, qui incarne avec justesse l’élégance romantique et le charme lumineux d’une joaillerie de caractère.

L'INSPIRATION

LA VIRGINIA tient son inspiration de la célèbre autrice Virginia Woolf, figure majeure du modernisme anglais et membre du Bloomsbury Group, ce cercle d’artistes et d’intellectuels qui bouscule les codes littéraires et sociaux au début du XXᵉ siècle.
Entre Londres et la campagne anglaise, dans une société encore marquée par l’héritage victorien puis par les traumatismes de la guerre, Woolf invente une manière nouvelle de raconter : moins par l’action que par le flux des pensées, des sensations, des souvenirs. Ses romans ("Mrs Dalloway", "To the Lighthouse", "Orlando", "The Waves"...) et ses essais placent au centre la vie intérieure, le temps qui se dilate, les voix des femmes et les failles d’un monde en mutation.

Sa plume, tout en finesse et en profondeur, explore la condition féminine et dessine une féminité complexe, intellectuelle, libre, dont la force réside autant dans la sensibilité que dans la conscience de soi. Même sa relation avec Vita Sackville-West, qui inspire en partie "Orlando", dit quelque chose d’une liberté affective et identitaire en avance sur son temps.
Avec "A Room of One’s Own" puis "Three Guineas", elle défend l’idée qu’une femme a besoin d’indépendance matérielle et d’un espace à elle pour créer, penser et exister pleinement, loin des rôles assignés.

Dans cet héritage, LA VIRGINIA s’impose comme une bague élégante et singulière, pensée pour celles qui aiment les objets porteurs de sens, de culture et de caractère. Une pièce qui célèbre une féminité sûre d’elle, cultivée, subtile.
À l’image des figures féminines dessinées par Virginia Woolf - libres, lucides, profondément sensibles - elle évoque une présence affirmée, faite de raffinement et de justesse, où la poésie du quotidien se mêle à une allure intemporelle.

"Il m'arrive parfois de penser (à moi, qui n'ai pas encore vingt ans), que je ne suis pas une femme ; que je suis le rayon de soleil qui éclaire cette barrière, ce coin de sol. Il m'arrive parfois de penser que je suis les saisons, le mois de janvier, le mois de mai, le mois de novembre : que je fais partie de la boue du brouillard et de l'aube."

"Laissons-la exister, cette rive, cette beauté, et moi-même, pour un instant, inondé de plaisir. Le soleil est très chaud. Je vois la rivière. Je vois des arbres mouchetés et roussis par la lumière de l’automne. Des bateaux passent, traversent le rouge, traversent le vert. Au loin une cloche sonne, mais ce n’est pas pour la mort. Il y a des cloches qui sonnent pour la vie. Une feuille tombe, de joie. Oh, je suis amoureux de la vie."

Les Vagues (The Waves, 1931) - Virginia Woolf

LA VIRGINIA en détails

💍 Taille 57 (forfait mise à taille classique possible du 53 au 60 (50 euros), en cas d'écart plus important contactez-nous à hello@saganparis.com)

Pour une mise à taille classique (+/- 3 tailles), rendez-vous sur le lien suivant : forfait mise à taille classique 💍(à ajouter au panier lors de votre commande)

💎 or blanc 18 carats (poinçon français tête d'aigle et maître), émeraude de 8 x 5,8 x 2 mm (inclusions naturelles, givres, fêles affleurants, égrisures), 8 diamants de 3,9 mm (total estimé à environ 1,76 ct)

🪶 poids : 5,13 g

📏 dimensions du plateau : 16,5 x 14,4 mm

🕰️ Période 1960-1970

Notes : ce bijou ancien a eu une vie passée et peut donc présenter de petits défauts, cela fait partie de son histoire et de son charme. N'hésitez pas à bien regarder les photos, elles font partie de la description.

Le prix du bijou prend en compte les petites imperfections que ce dernier peut présenter.

L'écrin de présentation présent sur les photos n'est pas fourni. Le bijou vous sera envoyé dans un joli écrin rétro et accompagné d'une jolie boîte estampillée SAGAN Paris, éco-responsable et fabriquée en Europe.

Livraison & retours

💳 Paiement en 3x sans frais disponible avec Klarna (choisir paiement CB lors du réglement) et en 4x sans frais disponible avec Paypal

Code produit : B060625